Alliance
Notre raison d'être

"Quand les enfants, les parents et les garderies non subventionnées sont bannis sans raison aucune, juste parce que la garderie existait avant une mystérieuse date...."

UN RÉSEAU INIQUE.
LE PARENT N'A PAS LE CHOIX. LE VRAI.

"La seule et unique manière de rendre ce réseau équitable c'est de donner le vrai choix aux parents.

Donc ce sont eux qu'il faudra financer et non les établissements."

IL N'Y A JAMAIS EU D'UNIVERSALITÉ.
C'EST FAUX.

"Tant et aussi longtemps que les parents dont les enfants fréquentent les garderies non subventionnées paient plus que ceux des CPE l'universalité restera une UTOPIE. Les quartiers riches sont ceux qui profitent le mieux de cette politique en ce 21 siècle."

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About The JD Chicago


 

À propos de l'Alliance

 

Depuis le changement de cap brutal et radical dans la politique d’octroi des subventions, opéré sans raison par la Ministre Yolande James, un grand pan du réseau s’est retrouvé excommunié ; parents, enfants et garderies. Sans prévenir la Ministre de la Famille de l’époque décida unilatéralement contre toute attente, de bannir toutes les garderies privées non subventionnées (GNS) de l’appel d’offres lancé le 24 octobre 2011. Les deux associations rivales de garderies privées qui occupaient la scène dans le temps, ne voulaient guère s’occuper du cas des GNS pourtant affiliées pour la plupart à ces deux associations.

 

 

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Une réforme majeure s'impose

Pensé Il Y'a 22 Ans Par Des Péquistes, Le Réseau Des Services De Garde A Vraiment Besoin D'une Réforme Majeure. Pourquoi ? Pour Les Raisons Suivantes :
Equité

C'est cette équité si importante et si évidente à comprendre qui manque atrocement au réseau de garderies. Deux poids deux mesures. Des contribuables qui bénéficient de tout et d'autres de rien. Mais on oublie qu'il s'agit de nos enfants. De ceux qui dirigeront le pays demain. .

Universalité

Une utopie. Un leurre pour le citoyen qui ne peut tout voir. Tant et aussi longtemps que certains paient plus que d'autres, l'universalité restera un rêve. Mais certains vantent cette non universalité. L'absurde même.

On Nous Envie

Encore faux et archi faux ! Si ceux qui nous envient étaient au courant de la vraie réalité, ils ne nous envieraient pas, si "envieux" y'a. Des coûts astronomiques avec un taux de diplomation dans nos écoles. l'un des plus faibles au Canada ! Est-ce pour cela qu'on nous envie ? ET si on nous enviait tant pourquoi on nous envie tant ? Une absurdité!

Économie Sociale

Quand des directeurs de CPE touchent des salaires de multinationales pour gérer 80 enfants ou moins, excusez-moi mais y'a erreur sur le terme. Ou que des directeurs de CPE se la paient douce au Château Frontenac avec l'argent du contribuable, je pense qu'il faut changer de référentiel économique. Même en Norvège cela ne se fait pas.

Les Parents Qui Gérent

Ah bon ? Pauvres parents. Peuvent-ils vraiment gérer quelque chose quand ils ne peuvent qu'assister à des réunions du conseil d'administration, loin du quotidien et très loin du métier ? Soyons sérieux ! Pour la plupart ils ne peuvent qu’entériner les décisions des directeurs pratiquement permanents ! Un modèle désuet. Oui ! Et complètement dépassé. Le malheur c'est que c'est devenu un modèle pour certains que cela arrange bien.

Question ?

Quand le gouvernement a décidé de faire des coupures dans les CPE, les salaires des directeurs ont-ils été coupés aussi ? J'en doute. Certais CPE ont même décidé de couper dans les services et dans la nourriture. Quand on sait que tous calculs faits les CPE perçoivent pratiquement le double sinon le triple de ce que touchent les garderies non subventionnées. Mais qui s'en soucie ? Les syndicats diabolisent tout ce qui est privé car ils sont très puissants et ils le savent.

Les CPE, Est-ce La Solution ?

La commission Robillard a été on ne peut plus claire là-dessus. Parmi ses recommandation c'est la généralisation des remboursements anticipés des frais de garde. Comme ce qui se fait dans notre réseau. Et ce n'est pas pour rien. Car les coûts dans les CPE on explosé. Et à cette vitesse la pérennité du services est mise en jeu.

Transition Vers L'école

Les transferts d'argent aux CPE et garderies subventionnées montrent bien que le gouvernement Québécois ne se soucie que des enfants qui fréquentent ces services. Omettant volontairement les enfants des familles à faible revenu qui fréquentent les services subventionnés, même si leurs parents paient l'impôt.

Et ça fait 20 ans que ça dure et ce n'est pas prêt de s'arrêter.

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  • On Nous Envie
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  • Les Parents Qui Gérent
  • Question ?
  • Les CPE, Est-ce La Solution ?
  • Transition Vers L'école
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Un Réseau Très Clivé

CPE/Milieu Familial/Garderies Subventionnées/Garderies Non Nubventionnées/Milieu Familial Non Subventionné

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Échec annoncé de la politique fédérale des garderies à 10$ et pronostic d’une hécatombe dans les garderies non subventionnées (GNS).

Quand on parle de santé, ce sont les médecins, les infirmières ou le corps médical qu’on voit protester dans les journaux télévisés. Idem pour l’enseignement. Mais en est-il de même quand il s’agit de la petite enfance ? Non ! Vous ne verrez que des associations de CPE ainsi que leurs puissants protecteurs, les syndicats.

Mais pourquoi donc cette caractéristique singulière du Québec ? La réponse est pourtant claire ; ce domaine-là, depuis 1997, quand le PQ a transformé l’allocation familiale pour services de garde en subvention aux CPE, a basculé d’une relation parents-Ministère à une relation CPEs/Syndicats-Ministère. 

Par quelle magie ? C’est encore plus évident ; au lieu de donner des allocations aux parents afin de leur permettre de choisir le service de garde qui leur convient, au Québec on donne cet argent aux CPE et garderies subventionnées (GS) et ce sera au parent de se débrouiller pour chercher le service de garde subventionné, s’il est chanceux d’en trouver, sinon il doit se rabattre sur GNS au tarif plus élevé.

Cette politique a donc éclipsé le parent et a donné plus de pouvoir aux CPE au détriment des parents contribuables relégués en second ordre sinon en troisième voire plus. On a donc privilégié les institutions de garde par rapports aux parents contribuables. Pire encore, ces derniers ne figurent même pas dans les comités consultatifs. Qui consulte-t-on finalement dans cette politique familiale ? Les Associations professionnelles. Principalement les CPE/Milieu Familial (MF) & syndicats. Une vraie injustice ! Voilà donc un domaine qui est censé privilégier les parents mais où l’on n’écoute que les professionnels. C’est comme si les entreprises privées de construction définissaient la politique en matière de transports et d’habitation ou que les cliniques privées négocient avec le gouvernement tout ce qui relève de la santé.

Les parents contribuables ne sont donc jamais consultés, ni sur le fond ni sur la forme, des services qu’ils reçoivent Ils les subissent.

Dans les pays de l’OCDE, l’état veille au cadre réglementaire tout en régulant les nombres de places afin d’empêcher tout cannibalisme ou toute situation pouvant mener à un effondrement d’une partie ou de la totalité du réseau de services, en intervenant dans les processus de sélection des services de garde, par des inspections et des contrôles. L’état n’investit que dans les quartiers défavorisés.

Est-ce le cas au Québec ? Non ! Au Québec, l’État investit beaucoup dans les quartiers riches. Et tout ce qui est CPE ou MF est considéré d’office comme bon et suffisant, pas besoin de concurrence. Bien que ces CPE soient des organismes privés car non assujettis aux contraintes de reddition des comptes imposées aux organismes publics. C’est donc une lacune grave qui dure depuis plus de 23 ans. 

Cette politique a favorisé les CPE, ils ont la part du lion dans les appels d’offres –85% des places- avec des retards énormes dans la réalisation des projets de places sans que les quotas changent. Une politique digne des pays communistes. Et personne ne sait pourquoi. Même la soi-disant participation des parents dans les conseils d’administration des CPE ne saurait justifier un tel choix. Et puis, qui dirige vraiment les CPE ? Ce ne sont pas les parents en tout cas. Ce sont les directeurs. N’a-t-on jamais donc fait des statistiques sur la durée en poste des directeurs de CPE ? Ils semblent régner pendant très longtemps.

Il ne faut donc pas s’étonner que la vitesse de création des places au Québec soit aussi lente.

Et l’on se demande si les innombrables cris de secours des parents dans les colonnes des médias, aussi nombreux et déchirants soient-ils, seront écoutés un jour. La réponse n’est pas dans le souffle du vent. Le drame au Québec c’est que les CPE/Syndicats ont la main mise sur les services de garde et bloquent toutes les solutions incluant les GNS. Sinon pourquoi s’entêter à refuser de les convertir et résoudre instantanément la crise actuelle ? Ou alors les acheter, avec tous ces milliards qui pleuvent et les CPE-iser.

La reprise sera donc ratée. Elle sera réussie ailleurs au Canada, mais pas au Québec, seul pays aux deux types de contribuables ; ceux qui bénéficient de tout, dont les enfants fréquentent les CPE, MF et GS, et ceux qui ne bénéficient de rien, les autres. Un clivage unique et inique en son genre”.

Devant cette situation de monopole des CPE, il est fort à parier que les pluies de milliards de dollars, feront chou blanc au Québec. Les parents devront prendre leur mal en patience et attendre des années encore. La reprise économique telle que souhaitée par le fédéral n’aura pas lieu au Québec. Cela donne l’impression que le fédéral cautionne le Québec dans cette politique injuste envers les familles.

Comme conséquence inéluctable d’avoir accepté de verser l’argent sans condition au Québec, le gouvernement du Canada accepte aussi l’inégalité entre les contribuables, entre les enfants ainsi que de voir beaucoup de GNS forcées de fermer pour que des CPE tout frais prennent leur place. Leur clientèle ainsi que leurs éducatrices iront à coup sûr aux CPE. Que de milliards pour rien.

On peut donc conclure que “Rien ne se crée, rien ne se développe, tout se transforme lentement en CPE”.

Et avec beaucoup de précarité chez les familles ainsi que des faillites de GNS comme corollaire.

Votez ici pour la fermeture: http://garderiesns.com/index.php/consultations/consultation-pour-des-journees-de-fermeture

 

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Objectifs de l'AQGPNS

  • Rétablir l'équité +

    L’Alliance a donc été créée pour rétablir l’équité qui manque tant à ce réseau et sans laquelle beaucoup de problèmes continueront à le miner. Si cette subvention était remise aux parents on n’en serait pas là à discuter du problème des places payées par le gouvernement et inoccupées..

  • Rendre le choix aux parents. +

    L'article premier de la loi sur les services de garde stipule que les enfants doivent avoir le choix de choisir la garderie qui leur convient selon leurs propres critères. Mais avec la subvention ce choix n'est plus possible.

  • Faire cesser le favoritisme +

    Actuellement le Ministère de la Famille ne dialogue et n'a de partenaire que les services subventionnés. Il les consulte dans toutes ses décisions. Mais les garderies non subventionnées qui abritent les enfants des mêmes contribuables et qui ont le même permis et obéissent aux mêmes lois et règlements, sont tenus loin de toutes aides et autres contributions du gouvernement pour le bien de tous les enfants.

  • Que la subvention soit familiale et non institutionnelle +

    En finançant les institutions de gade, le gouvernement enlève le pouvoir de choisir aux parents. Ces derniers tombent dans une sorte de logique pour un coût minimal des frais de garde et sacrifient ainsi leurs critères pour un prix moindre.

    En privilégiant les institutions de garde, le gouvernement crée une situation de monopole ennemie de toute concurrence seule garante d'une qualité meilleure.

  • Homogénéisation des tarifs de garde +

    En homogénéisant les tarifs, le clivage entre type de services de garde disparaîtra au profit d'une bonne concurrence qui permet le vrai choix aux parents.

  • Amélioration continuelle de la qualité des services de garde +

    Opérant dans un domaine où l'amélioration de la qualité des services est un souci majeur, l'Alliance militera toujours dans ce sens et encouragera toute initiative visant cet objectif.

    Que ce soit avec le gouvernement, les autres opérateurs ou associations, l'Alliance se sera toujours présente dans les événements qui ont pour objectif l'amélioration de la qualité.
    Au sein de l'association, de telles initiatives auront une attention particulière.

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Quelques points à savoir

  • icon Comparaison
  • icon Historique
  • icon Réseau très clivé

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Comparaisons entre les différents services de garde.

Le vieil adage québécois; "Quand on se regarde, on se désole ; quand on se compare, on se console", devrait changer en "Quand on se regarde, on se désole ; quand on se compare, on se révolte" dans le cas des garderies non subventionnées.

Nous sommes une entité reconnue et autorisée mais au delà de ces considérations, nous ne sommes rien. Aucune autre relation avec le gouvernement sauf les inspections. Nous ne partageons rien avec le Ministère de la Famille. Aucune assistance ou aide ces dernières étant réservées uniquement aux services de garde subventionnés; les bibelots !
Une sorte de partenariat vide et sans réel contenu ni volonté d'ailleurs. En d'autres termes, le gouvernement a choisi d'ignorer toutes les familles dont les enfants fréquentent nos installations. Deux contribuables, deux traitements différents. Une discrimination flagrante.

Jugez-en vous-même !

Critères:

  • Permis
  • Règlements
  • Subvention
  • Aide Transistion
  • Besoins particuliers

CPE/Gard. Sub.:

  • Oui
  • Oui
  • Oui
  • Oui
  • Oui

Garderie Non Sub.:

  • Oui
  • Oui
  •    Non
       Non
       Non

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Avant, toutes les familles étaient traitées de la même manière concernant les services de garde.

Et puis le PQ décida que cette allocation aille dans le financement des CPE.

Avant 1997

Les familles recevaient des allocations pour couvrir partiellement leurs frais de garde.

Le financement des parents sous forme d'allocation était équitable. Cela n'a pas empêché des centaines de milliers de femmes de travailler et d'élever leurs enfants.

Garderies à 5$

Une grande partie des familles payaient ses impôts sans bénéficier de quoi que ce soit. Interprétation des CPE: Nous sommes victimes de notre succès.

Beaucoup d'injustices, une universalité hypothétique, budget astronomique et on trouve le moyen de parler de succès!

Les parents n'ont plus le choix que de chercher les places disponibles et faire fi de leurs critères. Les CPE détiennent le monopole et se soucient peu des choix parentaux avec des listes d'attente remplies à craquer.

20 ans après

Le PQ se targue toujours d'être l'instigateur de cette politique désastreuse. Pire encore; le Québec obtient de très mauvais résultats en matière de réussite scolaire avec tous ses CPE ! Le taux de diplomation au secondaire est de l'ordre de 74%.

Les provinces qui n'ont pas de CPE et qui nous envient parait-il, cartonnent avec des taux de 85% et plus. Cherchez l'erreur !

Lumières sur quelques faits

Quelques informations caractérisant le réseau des services de garde



Milieu Familial (32%).



Géré par des bureaux coordonnateurs. Juste à consulter les journaux et vous comprendrez que des choses atroces s'y sont passées.



Le comble c'est que le gouvernement ne diffuses aucun rapport d'inspection contrairement aux autres types de service. Et tous les Ministres qui se sont suivis sont d'accord là-dessus.

CPE (33%)



Ils sont subventionnés par l'impôt du contribuable et ils sont privés.



Si l'on compte toutes les subventions, exonérations, participation du gouvernement au fonds de retraite des éducatrices, cela peut dépasser les 90$/jour/enfant. Très budgétivores, ils engloutissent une grande partie du budget du Ministère.

Le reste (35%)



Ce sont les garderies privées, subventionnées ou non. Elles sont très mal vues par les milieux syndiqués qui vont jusqu'à les diaboliser leur reprochant de recevoir de l'argent en contre partie d'offrir le service.



Les garderies non subventionnées ne perçoivent pour la majorité que 35$/jour et demeurent très compétitives à qualité sans commune mesure quand on les compare aux CPE qui touchent le triple.

 

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